« J’y suis, j’y reste » : Leroy Merlin entre chez les aînés pour mieux les comprendre

« J’y suis, j’y reste » : Leroy Merlin entre chez les aînés pour mieux les comprendre

Entre 2012 et 2017, une étude de grande envergure a été menée par Leroy Merlin Source et AG2R la mondiale, sur les personnes âgées qui restent vivre chez elles : « J’y suis, j’y reste ». Des entretiens audio et filmés ont été réalisés au domicile des interviewés afin de retranscrire au mieux leur quotidien.

La parole a été donnée à des seniors entre 65 et 95 ans. Ils ont pu s’exprimer sur leur vie, le lien qu’ils entretiennent avec leur domicile, les difficultés rencontrées dans leur mobilité, le lien avec les aidants, l’adaptation du logement, etc.

Avec ces documentaires, Leroy Merlin a voulu enrichir sa connaissance des personnes âgées et comprendre les motivations à rester chez soi ; dans l’objectif de mieux répondre aux besoins d’adaptation du logement. L’entreprise a aussi voulu montrer que contrairement à ce qu’on peut croire, les seniors vivent généralement en bonne santé chez eux. La maladie et la perte de l’autonomie ne sont pas des fatalités.

Une étude en trois films et trois portraits

L’étude a duré 6 ans et se conclue par trois volets d’une cinquantaine de minutes et trois portraits de nonagénaires d’une vingtaine de minutes. Pourquoi des vidéos ? Car les images parlent bien plus que les mots quand il est question de logement, d’adaptation et de mobilité des personnes âgées.

Le premier volet cherche à comprendre le lien qui unit les aînés à leurs chez eux. Les images montrent que les seniors préfèrent rester dans leur logement pour garder leur liberté, leur confort, se sentir bien, malgré les risques physiques qui peuvent se développer avec l’âge.

Le deuxième volet confronte les motivations des seniors à rester chez eux, à l’avis des aidants, des proches, de la famille.

Le troisième volet s’intéresse plus spécifiquement aux conditions de vie des seniors chez eux : adaptation du logement, aide à domicile, nouvelles technologies, etc.

Enfin, les trois portraits présentent quatre nonagénaires :

  • Paulette, célibataire de 90 ans qui vit chez une amie près de Lyon. Elle jardine beaucoup, lit, tricote et est très fière de ses origines espagnoles. Elle raconte son histoire et celle de sa famille avec beaucoup de joie et de nostalgie.
  • Gaston, qui vit avec le souvenir de son épouse, disparue deux ans plus tôt de maladie et qu’il a essayé de garder auprès de lui, dans leur maison, le plus longtemps possible. Il raconte aussi avec fierté sa carrière professionnelle.
  • Jeanne et Robert, un couple qui vit à la campagne, à son rythme. Leur quotidien est ponctué d’habitudes simples : jardinage, bricolage, promenade, visite des enfants, etc. Tous deux semblent évoluer hors du temps.

Pour découvrir les trois portraits, c’est ici : Vivre chez soi, trois portraits

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